« Urbex »

Et si les murs des vieux bâtiments pouvaient parler?….

« L’idée du scénariste c’était de dire, on va partir de l’exploration de lieux pour continuer ensuite dans l’exploration de la psyché… »

— Clark, dessinateur.

Bien souvent, lorsqu’on ouvre une BD on s’attend déjà à quelque chose. Après avoir vu la couverture, lu l’accroche, feuilleté les pages, on a déjà une idée de l’univers dans lequel la lecture va nous plonger.

Et pourtant des fois, et bien on est surpris… C’est un peu ce qui nous est arrivé avec Urbex… Un album jeunesse qui semblait gentiment nous emmener vers une histoire d’ados s’adonnant à l’exploration urbaine…

Et pourtant assez vite cet album emporte tout le monde de 7 à 77 ans vers une ambiance et une histoire qui dépasse le simple album jeunesse…. Une bonne surprise dont nous parlons avec Clarke, le dessinateur….

 

des prisonniers condamnés aux travaux pénibles de la « terraformation » de la planète rouge sont sous la menace de gardiens et de drônes impitoyables tandis que les colons vivent une existence paisible. Ils représentent l’avenir de la planète et pourront bénéficier, grâce aux gigantesques travaux d’aménagement, d’une atmosphère et de conditions de vie comparables à celles de la Terre. Jasmine Stanford, une ex-flic condamnée aux travaux forcés, est contrainte de rejoindre Rojas, le puissant chef de la « Nouvelle Église Syncrétique » alors que des attentats fomentés par un groupe de fugitifs appelés « Les Solitaires » se battent pour un autre futur…

%d blogueurs aiment cette page :